60 - Pas de liberté sans amour ?

 

Nous vivons dans un monde d'interactions avec les autres

dont nous ne maîtrisons pas toutes les actions.

Par exemple si une personne veut telle chose, et qu'elle a le pouvoir,

elle peut nous imposer des choses que nous ne voulons pas.

.

Notre liberté peut plus facilement s'exprimer si nous percevons les autres,

nos interactions avec les autres.

 

Avec notre mental, notre cerveau, cela est difficile de tout percevoir,

de percevoir ce que veulent toutes les autres personnes, et leurs interactions.

 

Une caractéristique de la "conscience" c'est qu'elle est instantanément

en liaisons "subtiles" avec toutes les "consciences";

percevoir ce que les "consciences" émettent et percevoir les interactions "subtiles" entre les "consciences",

cela se fait intuitivement, spontanément, instantanément (en étant en pleine "conscience").

 

Mais pourquoi une autre "conscience" vous laisserait elle agir comme vous le voulez

si cette autre "conscience" à envie d'autre chose ?

Par amour.

Parce que lorsque on aime réellement quelqu'un, on l'écoute, on est attentif à ses besoins

(comme l'autre s'il nous aime, nous écoute, est aussi attentif à nos besoins).

Alors un échange "subtil" sincère empreint d'amour se fait entre les "consciences",

et elles trouvent instantanément une solution qui est cohérent pour les "consciences".

 

Parfois une "conscience" va percevoir que son souhait n'est pas déterminant

par rapport à ce qu'exprime l'autre,

et va évoluer dans sa perception de la situation.

 

C'est donc parce que notre "conscience" est à l'écoute des autres "consciences" et les aiment,

et que les autres "consciences' nous aiment et nous écoutent;

qu'ensemble, de manière "subtile", émergent des solutions harmonieuses pour toutes les "consciences",

et qui respecte les libertés des "consciences".

 

Parce que même si au départ des "consciences" voulaient peut être autre chose,

après cet échange "subtil" dans l'écoute et l'amour,

les "consciences" ont trouvé un consensus harmonieux qui respecte les libertés de chaque "conscience".