Le Journal

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Le Journal évoque pour des jours donnés, des "intuitions".

 

28 avril 2024 - Interdépendant, changeant.

Tout est interdépendant, changeant: Les personnes, les animaux, les végétaux, les minéraux, les "consciences", les âmes, le 'Un potentiel illimité' (l'origine de toutes choses; ce qui est de tout temps).

Cela induit que tout ce qui est: les personnes, les animaux, les végétaux, les minéraux, les "consciences", les âmes, le 'Un potentiel illimité' etc... sont 'Vides' d'existences propres indépendantes séparée des autres et ne changeant pas.

On existe certes, mais de manière interdépendante et changeante avec les autres choses matérielles ou "subtiles".

On est relié dans une unité par des liens "subtils" et matériels interdépendants à la matière, aux autres "consciences" et au 'Un potentiel illimité'.

La perception de notre ego d'une existence indépenadante et ne changeant pas (personnes, animaux, végétaux,  minéraux, "consciences", âmes, 'Un potentiel illimité' etc...) est une illusion de notre ego (notre mental et nos comportements automatiques d'attachements).

 

28 avril 2024 - Changement du nom du "Bain de conscience" en  'Un potentiel illimité'.

L'évolution du nom du "Bain de conscience" en 'Un potentiel illimité', signifie que 'Un potentiel illimité' intègre toutes les "consciences" mais aussi tout ce qui existe (les "consciences" + les êtres + les énergies etc...).

 

16 avril 2024 - Les conflits dans notre univers.

Les conflits dans notre univers sont peut être les conséquences d'un manque d'écoute des autres, d'un manque d'amour des autres, d'un manque d’échanges en pleine "conscience" pour trouver ensemble des solution harmonieuses pour le bonheur de tous.

Aussi, je peux commencer par écouter les autres...

 

15 avril 2024 – L'ego et la "conscience" peuvent travailler ensemble.

L'ego d'une personne (son mental+ses attachements) veut que cette personne soit heureuse (avec sa vision des choses);

mais l'ego s'y prend différemment de la "conscience": L'ego enregistre les comportements qui ont générés des plaisirs (ou qui ont évités des souffrances) dans des situations du passé (se sont des Attachements/Réactivités/Programmes); ensuite l'ego reproduit ces comportements, si la situation lui apparaît similaire à ce qu'il a enregistré dans ses Attachements /Réactivités/ Programmes.

La "conscience" elle, est en liens "subtils" avec les autres "consciences", et laisse émerger des "intuitions" pour le bonheur de tous.

La "conscuience" et l'ego peuvent travailler ensemble pour que la personne (et les autres, parce que nous sommes interdépendants) soient heureuse, si la personne a un ego «sain».

Un ego «sain» est un ego qui est débarrassé des Attachements/Réactivités/Programmes égoïstes qui me font souffrir la personne et les autres.

Un ego «sain» fonctionne en harmonie avec la "conscience", et sait que c'est en étant en pleine "conscience", en liens avec les autres (nous sommes interdépendants), que les êtres ont le plus de chances d'être heureux.

Le mental (avec un ego «sain») et la "conscience" observent alors ensemble, en commun, en complémentarité, en collaboration, pour le bonheur de tous; des intuitions/"intuitions" émergent, et les actions qui en résultent favorisent le bonheur des êtres (et le moins de souffrances).

 

11 Avril 2024 – Beaucoup de personnes vivent seules.

Je constate que beaucoup de personnes vivent seules.

Je constate aussi que beaucoup de personnes ont de fortes attentes vis à vis d'un potentiel conjoint; et que les attentes des deux potentiels conjoint sont souvent incompatibles, parce que chacun à parfois des attentes trop fortes vis à vis de l'autre, chacun voulant parfois quelqu'un «mieux» que lui/elle.

Par exemple:

Si chacun attend une personne plus belle physiquement qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus jeune qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une plus grande tolérance qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus intelligente qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus gentille qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus "subtile" qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une meilleure position sociale qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne d'une meilleure image sociale qu'elle/lui.

Si chacun attend une personne plus riche qu'elle/lui, avec plus de possessions matérielles etc...

Si les egos de chacun attendent «plus» que ce qu'ils sont; ils ne trouveront pas une personne qui elle aussi attendra «plus» que ce qu'ils sont; et les personnes resteront seules.

Si se sont les "consciences" qui s'expriment, alors leurs "consciences" seront peut être interpellées par une personne, quelque soit sa beauté physique, son age, sa tolérance, son intelligence, sa gentillesse , son côté "subtil", sa position sociale , son image sociale, sa richesse, ses possessions matérielles...

 

9 Avril 2024 – C'est peut être nous qui nous détruisons ?

Ce n'est peut être pas les autres, ou le "Bain de conscience", ou 'Un potentiel illimité, qui nous détruisent, mais notre ego; par nos actes contre le bonheur de tous, par notre égoïsme ?

Par manque de compréhension des conséquences de nos actes égoïstes sur les souffrances ?

Mais que détruit on par notre égoïsme:

Notre ego? (cet ensemble de pensées et d'attachements égoïstes).

Mais on ne détruit pas notre "conscience".

 

8 Avril 2024 – Une bonne décision ?

Je crois que le plus important n'est pas de savoir si on prend une bonne (ou une mauvaises) décision; mais si on est prêt à assumer sa décision (ou pas).

Car si nous prenons une décision sans l'assumer; on n'assumera pas non plus les conséquences de nos décisions, on ne voudra pas voir les liens qui existent entre nos décisions et leurs conséquences (par exemple des souffrances); on ne se remettra pas en cause, on ne s'améliorera pas.

Si on pense que nos décisions sont influencées, ou en liens avec les autres, donc que nous ne sommes pas pleinement responsable de nos décisions; si les conséquences de nos décisions génèrent des souffrances, il est probable que l'on rende les autres responsables de ces souffrances, et donc que nous ne chercherons pas à nous remettre en cause, et nous améliorer.

Et si nous sommes dans cette vie pour nous améliorer; que nous prenions une bonne ou une mauvaise décision n'est donc, peut être, pas le plus important; mais de voir les conséquences de nos décisions assumées pour s'améliorer.

D'autre part, si mon ego est surpris par une décision d'une autre personne; mon ego peut se demander si c'est une bonne ou une mauvaise décision; mais ma "conscience" sera peut être plus attentive à percevoir si cette personne est prête à assumer sa décision ou pas.

 

5 Avril 2024 – Les autres sont différents.

Je raisonne, je fonctionne parfois comme si les autres raisonnaient, fonctionnaient comme moi;

comme s'ils avaient le même niveau de "conscience", les même capacités d'abstraction, les même attachements, les même valeurs.

Parfois j'ai envie de vivre avec une personne;

avec mon raisonnement, mon fonctionnement, cette personne devrait avoir envie de vivre avec moi;

mais avec son raisonnement, son fonctionnement, elle n'en n'a pas envie.

 

2 Avril 2024 – Si je souhaite vivre avec une personne; que cette personne ne souhaite pas vivre avec moi mais avec quelqu'un d'autre.

Cette personne fait bien ce qu'elle veut;

elle vie bien avec qui elle veut;

c'est son choix, sa décision;

Et si c'est sa décision, c'est pour moi le mieux qu'elle puisse faire pour son chemin d'évolution, quel que soit son  niveau de "conscience".

Chacun a ses critères de choix;

si je ne correspond pas à ses critères;

et si une autre personne correspond à ses critères;

c'est comme ça, c'est la réalité du moment.

Je suis ce que je suis, je n'essaie pas de me changer pour me calquer sur ses critères de choix; car si je suis sincère et authentique sur ce que je suis, je suis alors au mieux que je puisse être, je n'ai alors rien à regretter.

 

30 mars 2024 – Ce n'est pas parce que j'observe, que je suis obligatoirement en pleine "conscience".

Lorsque je suis pris dans mes comportements automatiques (piloté par mes attachements), je suis dans mes sensations, dans mes sentiments, ou dans mes pensées.
Lorsque je suis en pleine "conscience"; ma "conscience" observe (comme si ma "conscience" était, par exemple, 1m en dehors de mon corps physique, et observait mes sensations, mes sentiments, ou mes pensées).

Lorsque je suis en fonctionnement mental, et que je pense ; je suis dedans (dans mes pensées).

Mais rien n'interdit à mon mental d'observer ce qui se passe: Les événements, mes sensations, mes sentiments, mes pensées; mais avec une observation mentale, et pas une observation de pleine "conscience".

Cela veut dire que ce n'est pas parce que j'ai la perception que j'observe; que je suis obligatoirement en pleine "conscience" (en méditation).

Alors, comment reconnaître si c'est ma "conscience" ou mon mental qui observe ?

1- Déjà, le fait de me poser la question : C'est mon mental ou ma "conscience" qui observe ? Peut me faire prendre "conscience" dans quelle situation je suis.

2- Aussi, le fait de me poser la question: Est ce que je pense ? Est ce que je suis dans mes pensées ? Peut m'apporter des éléments de réponse. Car si je pense et que je suis dans mes pensées; c'est mon mental qui pense qu'il observe.

3- Il est aussi important de percevoir quelle motivation je perçois lorsque j'observe?

Si je perçois que j'observe pour me montrer, et montrer aux autres, que je suis un grand méditant, pour me valoriser (à mes yeux et aux yeux des autres), c'est mon ego (mon mental +mes attachements) qui a pris le contrôle.

Si je médite pour être meilleur que les autres: c'est mon ego qui a pris le contrôle.

Si je médite parce qu'il faut méditer, parce que je dois progresser; il est probable que c'est mon ego qui pilote.

4- Si je suis attaché à la pleine "conscience": Par exemple si cela m'énerve, me gêne, me déçoit, si je constate après coup, que je ne suis pas parfois en pleine "conscience"; c'est l'ego qui a pris le contrôle.

5- Si j'observe, vide; il est plus probable que je sois en observation de pleine "conscience". Mais attention, car l'ego peut simuler le vide, le calme, l'observation.
6- C'est lorsque je suis en pleine "conscience" que je peux vraiment discerner si c'est mon mental ou ma "conscience" qui observe.

Mais rien n'interdit à la "conscience" et au mental d'observer en même temps.

 

25 mars 2024 – Maintenant j'observe.

Maintenant,

j'observe les émanations "subtiles" de ma "conscience";

j'observe les comportements automatiques et les expressions mentales de mon ego;

j'observe les émanations "subtiles" des autres "consciences";

j'observe les comportements automatiques et les expressions mentales des egos des autres.

Les autres s'expriment comme ils le veulent, comme ils le peuvent.

Mais qui observe:

- ma "conscience" ?

- mon ego, avec l'idée que s'en fait mon ego, les identifications de mon ego, les constructions de mon ego ?

 

19 mars 2024 – Je commence par écouter l'autre avec ma "conscience" (mon coeur).

Si je suis centré sur moi, sur ma liberté individuelle, sur mes plaisirs égoïstes;

et si les autres sont centrés sur leurs libertés individuelles, sur leurs plaisirs égoïstes;

chacun tirera la couverture à lui; nous serons en conflits d’intérêts, qui iront contre nos libertés et nos bonheurs.

Si j'écoute l'autre avec ma "conscience" (mon coeur); si je suis attentif à le comprendre; si je l'aime de manière libre (sans attachements aux plaisirs qu'il me procure) et ouverte (pour ce qu'il est ); et que les autres m'écoutent avec leurs "consciences" (leurs coeurs), sont attentifs à me comprendre, et m'aiment de manière libre et ouverte; en échangeant, nous allons trouver ensemble des solutions harmonieuses pour les libertés et le bonheur de tous.

Je commence donc par écouter l'autre avec ma "conscience" (mon coeur).

 

16 mars 2024 – Attaché à la pleine "conscience", dupé par mon ego?

Si je crois qu'être en pleine "conscience", en liens "subtils" avec les "consciences" est favorable à mon évolution et au bonheur de tous les êtres; il peut y a voir le risque:

1- Que mon ego s'attache à fonctionner en pleine "conscience".

2- Voire que mon ego simule la pleine "conscience" pour prendre le pouvoir sur moi même et les autres, aveuglé dans ses certitudes spirituelles égotiques.

1- Mais ma "conscience" peut prendre "conscience" que j'ai un attachement à la pleine "conscience", lorsque ma "conscience" observe (en pleine "conscience", après coup) dans des situations où je n'étais pas en pleine "conscience", que ma prétention à être en pleine "conscience" a déclenché en moi de l'énervement, de l'agacement, de l'irritation, de la déception... Ma "conscience" peux déconnecter cet attachement comme n'importe quel autre attachement (chapitre 19-Déconnecter un attachement).

2- Mais s'il y a aussi le risque que je crois être en pleine "conscience", et qu'en réalité c'est mon ego qui me fait croire que je suis en pleine "conscience", parce que mon ego veux être un grand méditant toujours en pleine "conscience" (pour se valoriser par le spirituel aux yeux des autres et de moi même); ma "conscience" peut se libérer de cet aveuglement en observant en "pleine "conscience" ce comportement de mon ego.

 

13 mars 2024 – Des souffrances?

Si des souffrances apparaissent en vous même:

- Soit vous êtes régulièrement en pleine "conscience", relié de manière "subtile" aux autres "consciences", vos "intuitions" émergent de votre "conscience", vous agissez en accord avec vos "intuitions"; et comme nous sommes tous interdépendants avec le monde et les autres, Bonne nouvelle: Ces souffrances sont peut être le minimum que vous pouvez générer.

- Soit vous n'êtes pas régulièrement en pleine "conscience", vous n'êtes pas relié régulièrement aux autres "consciences", vos "intuitions" ont du mal à émerger, vous avez des difficultés à agir suite à vos "intuitions", alors Bonne nouvelle:

Qu'est ce que vos souffrances ont à vous dire? Quelles informations vos souffrances laissent elles émerger de votre "conscience", pour vous aider à vous améliorer ?

Votre avis sur ce que vos souffrances ont à vous dire : …................................................?

Exemples:

Un attachement à déconnecter?

Trop centré sur soi ?

Approfondir ses connexions "subtiles" avec les autres ?

Des raisonnements mentaux qui vous enferment ?

Développer l'écoute de vos "intuitions" qui émergent de votre "conscience"?

Développer vos actions suite à vos "intuitions" ?

 

10 mars 2024 – La recherche.

Si on cherche avec son ego, on risque de ne trouver que des trucs égotiques.

Si on est dans l'instant présent, vide d'ego, en pleine "conscience", relié à ce qui est;

on constate alors les merveilles, les trésors qui nous entourent, qui sont à chaque instant devant nos yeux, en nous:

La terre, l'air, l'eau, le feu, les minéraux, les plantes, les fleurs, les animaux, les humains, notre "conscience", les "consciences", le "Bain de conscience", 'Un potentiel illimité, les liens subtils qui nous relient, la vie, la beauté, la pleine "conscience", la liberté, l'amour...

 

9 mars 2024 – La pleine "conscience", la liberté, l'amour du chiffre 3.

Si a l'origine n'existait que le 1 peut être que tout serait figé, immobile?

S'il n'existait que le 2, le monde resterait peut être dans l'opposition?

Peut être que par le 3, il est possible de trouver l'harmonie de la complémentarité qui relie les différences interdépendantes; dans la liberté, la dynamique, le changement? Comme dans le yin et le yang relié dans une libre complémentarité dynamique changeante et interdépendante.

Le bonheur est il en harmonie complémentaire avec la souffrance, par les liens qui les relient; dans la liberté, la dynamique, qui conduit au changement, à la vie?

Sans la différence du 2 et son observation du 3; la pleine "conscience" existerait elle?

Sans la reliance du 3 de la différence du 2, l'amour existerait il?

 

7 mars 2024 – Y a t'il un compromis possible sur ce que l'on est?

Si on n'exprime pas ce que l'on est; existe t'on vraiement? ou notre vie est elle en suspend?

Si on se conforme à ce que veulent les autres, est ce une forme de suicide de ce que l'on est?

Être ce que l'on est, l'assumer, vivre ce que l'on est, ce que l'on est venu faire là;

sinon, est ce que cela peut vouloir dire que notre vie n'aura servi à rien?

 

5 mars 2024 - Je respecte les autres, quel que soit leurs manières d'aimer.

Si j'aime une personne et que j'ai envie de vivre avec elle, mais qu'elle ne veut pas vivre avec moi ; J'observe :

Manière 1 - Si je suis attaché à ce qu'elle m'aime; ou si je suis attaché à ce qu'une personne m'aime et veuille vivre avec moi si je l'aime ?

Manière 2 - Si je l'aime pour les plaisirs qu'elle me procure (sans attachements)?

Manière 3 – Si je l'aime de manière libre (sans attachements de ma part, en respectant son libre arbitre quel que soit son niveau de "conscience") et ouverte (pour ce qu'elle est, pour son bonheur) ?

Parfois plusieurs manières coexistent.

Par exemple, à des moments je peux être attaché à ce qu'elle m'aime; et à d'autres moment l'aimer de manière libre et ouverte pour ce qu'elle est, pour son bonheur.

Manières 1: Si je perçois que je l'aime avec attachements; et que mon ego fait tout ce qu'il peut pour la forcer à m'aimer, pour qu'elle vive avec moi (par exemple en me conformant à ce qu'elle veut, ou en essayant de la manipuler etc...), cela risque de ne pas fonctionner; parce que lorsque l'on veut quelque chose avec attachement, en général c'est l'inverse qui arrive; pour nous faire prendre "conscience" que l'on veut quelque chose de manière égoïste pour notre plaisir, sans tenir compte de ce que l'autre souhaite.

Alors je travaille à déconnecter mes attachements (plus de détails au chapitre 19-Déconnecter un attachement).

Manière 2: Si je perçois que je l'aime pour les plaisirs qu'elle me procure sans attachements; peut être que cela veut dire que je l'assimile à un bel objet source de plaisir ?

Manière 3: Ce qui me parait fondamental face à cette relation avec une autre personne, pour trouver un équilibre en moi même; c'est bien sûr d'écouter mes sentiments, mes souhaits, mes besoins ; mais c'est fondamental d'écouter l'autre: ses sentiments, ses souhaits, ses besoins; d'échanger pour trouver ensemble un équilibre, des décisions communes pour le bonheur des deux.

J'écoute l'autre personne, je la comprend, je reconnais qui elle est; et si je l'aime de manière libre (sans attachements de ma part, en respectant son libre arbitre quel que soit son niveau de "conscience") et ouverte (pour ce qu'elle est, pour son bonheur); je souhaite qu'elle exprime son libre arbitre, qu'elle soit heureuse; et comme je crois que le meilleur moyen d'être heureux c'est de décider par soi même, en son âme et "conscience" en assumant ses décisions; j'accepte sa décision.

Et en acceptant sa décision, je ne me fais peut être pas souffrir tout seul avec mes attachements et mon égoïsme, à vouloir quelque chose que l'autre ne veut pas me donner (ou ne peux pas me donner).

Est ce que je souhaite que l'on respecte mon libre arbitre?

Est ce que je souhaite que l'on m'impose d'être amoureux de quelqu'un si je ne souhaite pas?

Alors pourquoi est ce que je l'exigerais des autres?

Si j'aime une personne, cette personne doit elle m'aimer?

Si une personne ne m'aime pas, est ce que cela veut dire que je ne dois pas l'aimer ?

Si une personne ne m'aime pas  est ce que je peux respecter son libre arbitre, ses décisions, l'aimer, et souhaiter son bonheur ?

Dans tous les cas, je respecte les autres, quel que soit leurs manières d'aimer.

Je respecte leurs libres arbitres, leurs décisions, pour qu'ils évoluent au mieux qu'ils le peuvent, quel que soit leurs niveaux de "conscience".

 

3 mars 2024 - Agir sur le monde, agir sur moi.

Je constate un monde avec de l'égoïsme, de la violence...

Je peux réagir avec mes programmes automatiques d'énervements, de révoltes, face à cela; et enclencher des actions sur le monde et les autres pour les changer.

Les autres changent s'ils le décident, et souvent pas beaucoup;

mais ce n'est pas une raison pour ne pas agir.

Mais comment ai je envie d'agir au mieux que je le peux, pour le bonheur de tous ?

Je peux aussi agir, pour changer en moi même les points que je ne supporte pas chez les autres, même si ces points sont plus faibles chez moi que chez eux.

Je peux travailler à déconnecter mes attachements, afin d'être moins réactif dans mes décisions et actes ;

ma "conscience" observe alors, dans l'instant présent en pleine "conscience", toutes ces perturbations du monde, les interpellations que cela génère en moi;  émerge alors de ma "conscience" (en liens avec les autres "consciences", ce qui est) des "intuitions" pour le bonheur de tous; j'agis; et s'il il y a des souffrances, se sont les plus faibles qui puissent être générées.

 

29 février 2024 - Être écouté, compris, reconnu, aimé.

Parfois l'ego d'une personne veut (avec attachement) être écouté, compris, reconnu (dans ses compétences et ses capacités), et être aimé par un autre être (par exemple un être qu'il aime) ;

et si l'ego de cette personne ne se sent pas écouté, compris, reconnu, et aimé par cet autre être; les comportements automatiques (attachements) de l'ego de cette personne peuvent générer automatiquement de la tristesse, de la fatigue, une déception, voir une dépression.

Parfois la "conscience" d'une personne souhaite (sans attachement) être écoutée, comprise, reconnue (dans ses compétences et capacités), et être aimée pour ce qu'elle est, par un autre être.

1- Mais parfois cet autre être est tellement centré sur lui même, son mental est tellement saturé par ses certitudes, qu'il n'a pas la capacité d'être attentif à une autre personne et à l'écouter. Parfois l'autre être n'a pas le temps d'écouter une autre personne; ou ça ne l'intéresse pas, et il n'a pas envie de faire d'efforts pour cela.

2- Les fonctionnements des êtres peuvent être très différents d'un être à l'autre ; et parfois avec des fonctionnements (attachements, modes de raisonnements, valeurs, niveaux de perception de ce qui est, capacités d'interprétation, capacités d'abstraction, d'analyse ou de synthèse) complètement différents, il est parfois difficile d'être compris par un autre être.

3- Il est aussi parfois difficile, voire impossible de reconnaître les capacités d'un autre être, si on n'a pas les capacités pour les percevoir. Par exemple, si une personne a des capacités de communiquer "subtilement"  de "conscience" à "conscience" ; cette personne ne sera pas reconnu par un être qui ne croit absolument pas aux communications "subtiles".

4- Parfois on n'a pas la même manière d'aimer: Pour certains êtres, ils aiment une autre personne pour les plaisirs que cette autre personne leurs procurent; et pour d'autres êtres, l'amour c'est d'être attentif aux besoins de l'autre et à son bonheur: si une personne a une manière d'aimer différente d'un autre être; elle risque de ne sera pas être aimé comme elle le souhaite.

Aussi je ne peux pas demander à un être de m'écouter s'il n'en n'a pas la capacité ;

je ne peux pas demander à un être de me comprendre s'il n'en n'a pas la capacité ;

je ne peux pas demander à un être de reconnaître mes compétences et capacités s'il n'a pas les capacités pour les percevoir.

je ne peux pas demander à un être de m'aimer sans attachement pour ce que je suis, pour mon bonheur, si cet être ne sais qu'aimer pour les plaisirs que je lui procure.

J'écoute les autres êtres en pleine "conscience";

j'essaie de les comprendre, de percevoir leurs modes de fonctionnements, leurs capacités et leurs compétences; je les aime de manière libre (sans attachement ) et ouverte (pour ce qu'il est, pour son bonheur).

J'exprime qui je suis,

et j'accepte que les autres m'écoutent à leurs façons, me comprennent à leurs façons, reconnaissent mes capacités et compétences à leurs façon, m'aiment à leurs  façon; et non pas comme je le veux;

sinon je risque de me faire souffrir tout seul, si je veux des choses que les autres n'ont pas les capacités de me donner.

 

24 février 2024 - Attaché à vouloir être aimé?

Parfois on est attaché à vouloir être aimé: Par sa mère, par son père, par une personne que l'on aime, par les autres...

Et pour cela on peut essayer: D'utiliser les attachements des autres; de faire ce qu'ils veulent; de se conformer à leurs valeurs; de les valoriser en leur disant que se sont de belles personnes...

Mais s'ils m'aiment parce que je les ai manipulé, que me suis conformé à ce qu'ils souhaitent;

Est ce que j'ai envie d'être aimé pour cela ?

Parce qu'en réalité ce n'est pas vraiment moi qu'ils aiment;

et cela n'a pas de valeur à mes yeux d'être aimé pour ce que je ne suis pas.

Alors autant être moi même; et qu'ils m'aiment comme ils le veulent (ou parfois comme ils le peuvent) ou ne m'aime pas; et j'accepte leurs choix, leurs libres arbitres;

comme moi, j'accepte d'être aimé (ou pas) pour ce que je suis;

et j'accepte d'aimer (mon choix, mon libre arbitre) les autres pour ce qu'ils sont, après les avoir écouté et compris pour ce qu'ils sont.

 

21 février 2024 - Ce n'est pas parce que l'on est triste que nous avons un attachement.

Un attachement peut avoir comme conséquence (si le déclencheur de cet attachement est présent) de la tristesse.

Mais réciproquement, ce n'est pas parce que l'on est triste que cela provient obligatoirement d'un attachement.

Notre "conscience" peut ressentir en pleine "conscience" de la tristesse (de la compassion aux souffrances des autres).

Par exemple si une "conscience" perçoit chez une personne un attachement qui génère de la souffrance chez elle, et que cette personne n'est pas "consciente" de son attachement et du sens de sa souffrance (peut être parce que cette autre personne n'a pas encore un niveau de "conscience" suffisamment profond ?) .

Alors la souffrance ressentie par une "conscience" peut être une alerte de compassion envers cette autre personne.

Cette alerte peut engendrer chez la "conscience", le fait d'être en pleine "conscience" dans l'amour, de cette souffrance chez l'autre; et de se connecter à l'autre par les liens "subtils" qui les relient.

Cela peut permettre plus facilement à la personne d'approfondir de son niveau de "conscience" (si elle le ressent comme tel, et que c'est OK pour elle); ce qui facilite la prise de "conscience" de son attachement, des souffrances qu'il engendre, et d'enclencher la déconnexion de cet attachement quand elle sera prête.

Par contre, si c'est mon ego qui est dans la tristesse de voir les souffrances d'autres personnes; de voir (avec l'impression de faire de son mieux) que ce qu'il fait n'est peut être pas efficace, ou ne donne pas assez rapidement de résultats; mon ego peut avoir momentanément le désir d'agir pour le bien de ces autres personnes, sans leurs décisions (ou en les manipulant); mais ma "conscience" reprend alors le contrôle, et me dit que se serait nier les libertés de ces personnes, et leurs capacités d'évoluer de manière autonome, au mieux qu'elles savent être, faire;

je travaille alors sur moi même, sur mes attachement à ce que les autres ne souffrent pas, et à intervenir pour le bien des autres sans leurs accords. Et en déconnectant mes attachements, cela développe la compassion de ma "conscience" (sans attachement) à ce que les autres soient heureux et libres.

 

14 février 2024 - Je souhaite être compris.

Je souhaite être compris, même si, peut être:

- Plus de 30 % des personnes ne comprennent pas bien le sens de ce qu'ils lisent ou entendent.

- Plus de 50 % des personnes ont des difficultés de compréhension de certains concepts, de compréhension de notions abstraites par rapport au matériel.

- Plus de 70 % des personnes ont des blocages, ou des attachements qui limitent leurs ouvertures et leurs compréhensions des fonctionnements des autres. Ils fonctionnent avec leurs raisonnements et leurs certitudes; et n'intègrent pas d'autres manières de fonctionner, de raisonner, avec d'autres concepts que les leurs, d'autres hypothèses, d'autres réalités que les leurs.

- Plus de 90 % des personnes ne perçoivent pas clairement leurs "consciences" (ce qui nous survit après la mort de notre corps physique); et donc ne perçoivent pas clairement les échanges "subtils" avec d'autres "consciences". Des personnes ont parfois des "intuitions" qui émergent de leurs "consciences"; mais elles mettent parfois cela sous le terme global d'intuitions, et ne discernent pas si cela vient de leur mental, d'un comportement automatique ou de leur "conscience". Ces personnes n'ayant pas l'expérience du fonctionnement en pleine "conscience"; ne comprennent pas profondément le fonctionnement du monde "subtil" (le monde du "Bain de conscience" et des "consciences"), et ses interactions avec la matière et les egos des êtres.

Le mieux pour l'évolution d'une personne, c'est qu'elle le fasse avec ses fonctionnements, ses interactions avec les autres, son niveau de "conscience", ses décisions. Il n'y a aucune interprétation ou jugement de valeur à faire sur les évolutions des autres; chaque personne et son évolution est respectable; on est simplement là où on en est sur nos chemins. Nous sommes tous reliés, interconnectés, interdépendants; et l'évolutions de chacun (quel que soit son nivedau de "conscience") favorise l'évolution des autres.

 

13 février 2024 - Écouter "subtilement" pour aimer ?

Aimer une personne, c'est peut être d'abord l'écouter "subtilement" avec sa "conscience" (en étant en pleine "conscience"), afin :

1- De ne pas se duper soi même en aimant (ou en n'aimant pas) l'ego de cette personne (son faux soi): Ses réactivités, ses pensées mentales, ses attachements, ses perturbations qui la perturbent et perturbent les autres (par des comportements automatiques qui ont été inscrits dans son ego à un moment donné).

2- D'aimer cette personne pour ce qu'elle est réellement, profondément :

sa "conscience" inaltérable, qui est à tout instant en liens d'amour avec toutes les autres "consciences", donc toujours en liens "subtils" avec notre "conscience".

 

12 février 2024 - Y a t'il que nous qui pouvons nous détruire ?

Si nous sommes réellement, profondément, durablement notre "conscience"; que notre "conscience" est un continuum de "conscience" interpendant et changeant, qui continue sans fin;

notre "conscience" passant éventuellement d'une vie incarnée à une autre; en ayant appris ce qu'elle avait à apprendre dans ces vies ?

Vouloir se détruire est peut être une décision de notre ego (notre mental et nos comportements automatiques auxquels nous nous identifions)?

Mais pourquoi notre ego voudrait il se détruire ?

Quels attachements pourraient générer une telle décision?

Peut être que dans certains cas, le fait que l'ego veuille que tout soit comme il le veut, et comme tout n'est pas comme il veut, il préfère tout arrêter, et envoyer balader le jeu d'un revers de la main?

Ou un autre chose bien sûr...

 

"Intuitions" plus anciennes:

Voir le livre 3:  73 jours du journal d'une conscience.